Lorsque vous vous servez d’un appareil photo, non pas comme d’une machine, mais comme le prolongement de votre cœur, vous ne faites plus qu’un avec votre sujet.
Ce dernier, vous intègre ou vous oublie, vous et votre objectif, et c’est ainsi que la magie se crée.
Comme ici avec Jean-François et Élodie.